2 avis
47 cordes. première partie / Timothé Le Boucher
Livre
Edité par Glénat - 2021
Une métamorphe tombe amoureuse d'Ambroise mais ignore le visage à incarner pour se faire aimer de lui. Inconscient de l'obsession dont il est l'objet, le jeune harpiste cherche à acquérir une légitimité au sein de l'orchestre qu'il vient d'intégrer. Une cantatrice renommée le prend sous son aile et lui propose un marché. S'il veut obtenir la harpe de ses rêves, il doit relever 47 défis.
Voir la collection «1000 feuilles (Grenoble)»Appartient à : «47 cordes»
Autres documents dans la collection «1000 feuilles (Grenoble)»
Se procurer le document
Autre format
Issus de la même oeuvre
Suggestions
Du même auteur
Avis
Avis des professionnels
-
Fascinant et sublime
On retrouve le côté fantastique de "Ces jours qui disparaissent" et le style reconnaissable de Timothé Le Boucher, mais c'est encore un récit hybride et inattendu qui nous attend dans la Première partie de "47 cordes". Au programme : relations de pouvoir, secret, érotisme, manipulation et sublime dans son sens originel. Effectivement nous suivons le parcours du héros avec appréhension et fascination. De quoi nous laisser sur notre faim pour la deuxième partie.
Julie MOY-BOUDIN - Le 07 mai 2022 à 10:24
Avis des lecteurs
-
Le nouveau Timothé Le Boucher
Dans ce nouvel opus ouvertement fantastique, le héros, jeune harpiste, devient l'objet de toutes les convoitises d'une créature métamorphe et hermaphrodite prête à tout pour lui plaire, le séduire. Jusqu'à, sous l'apparence d'une cantatrice, lui proposer un étrange marché. Cette première partie d'un diptyque est l'œuvre la plus ambitieuse de Le Boucher qui y exprime ces thèmes de prédilection : la paranoïa, la perception de la réalité, la maladie et, comme toujours, le spectacle vivant. J'aime beaucoup la description du monde de l'opéra, les nombreux personnages tous bien campés et attachants, l'érotisme parfois cru et, bien sûr, le style visuel mêlant BD franco-belge et influence manga. Citant également des films tels La Leçon de Piano de Jane Campion, Les Prédateurs de Tony Scott et Eyes Wide Shut de Kubrick… Un récit vénéneux de 400 pages lues d'une traite. Vivement la suite !!!
ZAL1 - Le 07 mai 2022 à 08:24